Point de situation – vendredi 8 novembre
Des maux de ventre et diarrhées ont été signalés à partir d’hier jeudi, concernant notamment des enfants qui ont déjeuné mardi dans les restaurants scolaires.
A ce stade, on ne sait pas si ces cas relèvent d’une intoxication alimentaire ou d’une autre cause, épidémie de gastro par exemple.
Les autorités ont été immédiatement prévenues, par mesure de précaution. La Préfecture et l’Agence Régionale de Santé sont saisis. Tel que le prévoit la procédure, l’analyse des repas témoins (conservés à la cuisine centrale) est en cours par les services vétérinaires et permettront de comprendre si problème il y a eu.
A cette heure, trois cas d’hospitalisation ont été recensés et des informations rassurantes nous sont parvenues depuis. Les premières analyses épidémiologiques n’ont d’ailleurs pas indiqué d’intoxication alimentaire selon le directeur de l’agence régionale de santé.
Bien sûr, dans ce cas le principe de précaution doit prévaloir – et même si les résultats de l’analyse des repas témoins vient confirmer qu’il ne s’agit pas d’une intoxication, nous resterons évidemment attentifs à l’état de santé de tous.
Par mesure de précaution toujours, nous invitons toute personne ou enfant bénéficiaire de la restauration collective soit au restaurant scolaire soit au portage qui présenterait des symptômes de maux de ventres, vomissements à consulter sérieusement un médecin généraliste ou hospitalier.
Par mesure de précaution nous avons remplacé le repas des cantines scolaires ce midi par un menu sec. Ce repas, dit de secours, ne sera d’ailleurs pas facturé aux familles.
En ce qui concerne le portage de repas à nos aînés il fait l’objet d’une chaîne de production différente qui ne nécessite pas de remplacement après avoir consulté les services vétérinaires.