La sécurité sanitaire de tous n'a pas de prix, mais elle a un coût pour la communauté de communes !
Face à la cinquième vague, les annonces du Premier Ministre nous impactent tous dans notre vie quotidienne. Elles touchent aussi, bien sûr, les collectivités, qui doivent s’adapter.
Ainsi, le passage au niveau 3 du protocole sanitaire dans les écoles, outre le port du masque obligatoire pour tous, impose un renforcement de la désinfection ainsi qu’une vigilance accrue dans les restaurants scolaires (limitation du brassage des classes, entrées et sorties séparées, etc.). Des mesures immédiatement mises en place par la communauté de communes, d’autant plus rapidement que, dans le souci de protéger les enfants, la collectivité avait maintenu depuis la rentrée la plupart des précautions qui s’imposent aujourd’hui.
« Au total, depuis le début de la crise, ce sont plus de 600 000 € qui ont été engagés directement par la communauté de communes pour la lutte contre la COVID (besoin matériels, frais de personnel supplémentaires, aides aux entreprises, désinfection des écoles…). Un chiffre très important qui vient directement impacter le budget de notre collectivité. La santé de tous est ma priorité. La sécurité sanitaire n’a pas de prix – mais elle a un coût. Grâce à ses finances saines, la communauté de communes peut encaisser ce choc inattendu. Pour autant, j’en appelle à l’Etat pour accompagner financièrement les collectivités dans cette cause nationale, sur une question, la santé, où nous devons travailler main dans la main. » Anthony Zilio, président de l'interco